Zoko ad Eternam
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Zoko ad Eternam

Demeure des mercenaires de la Zoko Ad Eternam
 
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 L’azur c’est éteins ….et après….

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Date d'inscription : 01/01/1970

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MessageSujet: L’azur c’est éteins ….et après….   L’azur c’est éteins ….et après…. Icon_minitimeLun 8 Juin - 14:52

Souvenirs Et depuis répétition de nuits troublante. Et depuis chaque nuits ça recommence .Et une journée qui débute comme une autre de prime abord, calme matinale, sans surprise, l’printemps installé dans cette Auvergne, la brindille comme aimait l’appeler l’Apo…la miette, rencontre improbable au même instant dans une taverne moulinoise… de deux écorchée vive…l’une en tailleur sur la table, l’autre sur l’comptoir…provocation, taquineries, rires l’azur brille et tout bascule… Bruit incessant de c’p’tin conseil, elle voulait voir, elle a vue, elle fulmine, elle se retient, elle se contient, elle est directe, cassante, pas virulente, pèse ses mots , lèvres serré, poings fermé…. Sous son crâne c'est la brouhaha… Si ca ne vous embête pas, d'parler plus bas, j'n'entends plus la petite voix, écoutez là, z’avez tué celle qui osait vous balancer la vérité… celle-ci murmure et s’marre de c’qu’elle observe d’la haut. C'est peut-être dans sa tête qui autorise n'importe quoi, vous savez pas c'que fait ma tête faut jouer d’la matraque Echec et mat … d’vos magouilles…sa tête éclate…. « A » Apo, au soleil, à la lune …« A » ….la faveur d’une éclipse … tout change face caché …. Rage contenue qui reste, qui s’encre qu’il faut qu’elle libère…. La brindille s’arrête, regard s’tourne vers la fenêtre, tête qui s’penche, menotte qui glisse le long d’sa cuisse, elle avait été là… la dague, qu’elle a rendu au colosse, la provocation qu’elle a voulu comme pour mieux ressentir qu’lui aussi leur portait cette haine, qu’il avait cette rage et se calme mêlé…savant dosage de ceux qui attendent le bon moment pour frapper… . Pensive l’autre p’tite main qui vient effleurer l’cou meurtrie, visage fermé et… la p’tite voix qui s’fait entendre a nouveau, impulsion donné, saute par la fenêtre c’est partie….

Etalon poussé au galop dés le crépuscule, pluie battante, c’est si bon de chevaucher a nouveau, libre, d’sentir l’cœur qui bat qui résonne jusque ses tempes, rythme de la pluie qui fouette l’ptit minois, brindille encapuchonner dans sa cape pourpre, sabots de l’étalon sombre claquant au sol et elle le pousse… et suit le murmure de la p’tit voie. Sauvage, indomptée, elle le redevenait la rage et la noirceur l’envahissait chaque jour de plus passé dans ce château Auvergnat et que dire du coup d’poignard perçu a nouveau en apercevant a nouveau…



Nuit tombante… Forteresse qui s’dessine, Le feu qui sort des naseaux d’la monture, vapeur essoufflé d’la cavalière… r’gard sur la herse qui s’dresse, serpent aperçue, comment oublier c’qu’elle a vue durant toute la douleur la cuyère, pupilles glissant sur cette nuque…. l’tatouage ancré a jamais, souffle et sueur mêlé d’l’effort … griffes plantée, cris qui résonnes comme si c’étais…. Hier…. Et cette rage qui cogne de plus en plus fort a chaque battement d’cœur, oui a l’écuyère elle l’aurai déterré, pour certains elle les aurai ligoté et a la cuillère les ensevelir de terre, les étouffer … les r’gardant agoniser, l’regard diabolique, l’sourire en coin…démoniaque, de la haine qu’elle leur portait… elle avait vue et c’p’tin sénéchal qui s’pointait a nouveau pour tuer qui cette fois… Cavalière qui saute au sol, bottes qui crisse et avale l’espace en quelques enjambées décidé qui l’amène… mains posé sur l’épée légué, léger haussement d’épaules bouclier cabossé calé dans l’dos et en echos « Qu’elle soit prudente sur les chemins qu’elle arpente avec autant de cœur que moi » plus déterminé que jamais, s’arrêter, inspiration… serrée les deux poings et frapper



Boum… Boum… Boum


Trois coups donné, signal convenue, l’signal… à savoir c’qui va se passer elle va ou elle veut, Intuitive, Où ça lui plaît… et puis qui sait….pt’ être un avenir du genre qui lui colle au corps depuis toujours, avoir essayer et avoir vue… elle avait été… elle se sentait toujours Cuyère d’l’Apo… elle était là, elle la percevait et peut être qui sait… Apprentie du Colosse son double son autre…. c’est vers Elle, Elles, Lui, Eux… que la p’tite voie la mené dans un murmure…Le souffle se récupère difficilement alors qu'elle soupçonne l'importance... l’audace de ce que représente les trois coups porté. Cape trempé, mèche collé au visage, iris azuré assombrie, regard aux alentours, sur ses gardes, rien a perdre, plus rien…. Chercher à calmer cette rage qui tonne a chaque battement d’cœur, La voie…une mélodie instinctive la brindille a l'coeur qui cogne...
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Arnaülf
L'Cerbère-PNJ
Arnaülf


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MessageSujet: Re: L’azur c’est éteins ….et après….   L’azur c’est éteins ….et après…. Icon_minitimeMer 10 Juin - 12:44

Une journée de plus a passé sur la forteresse de la 'Zoko Ad Eternam', et celle ci commençait peu à peu à grouiller de vie. De partout accouraient des guerriers, hommes, femmes, désireux de tenter l'aventure de cette toute jeune compagnie franche, et la rumeur disait que d'autres encore étaient en chemin.

Arnaülf ne savait plus où donner de la tête : non seulement le scandinave s'occupait d'accueillir ceux dont les maîtres ne pouvaient pas se charger, fautes de disponibilité, mais c'était également lui qui rangeait les armes laissées sur place par les mercenaires après leur entraînement, lui qui préparait les repas pour les maitres, les aguerris et les apprentis. Lui toujours qui nettoyait la table après leur repas. Lui enfin qui luttait pour éradiquer les rongeurs qui pullulaient tels la vermine dans les couloirs du château.
Son rôle ne se cantonnait plus à celui de simple portier non … il était devenu l'homme à tout faire.

Mais le guerrier ne se plaignait jamais, et s'acquittait docilement de sa tache. Ici il se sentait utile, et parfois même il parvenait à trouver le temps de croiser le fer avec l'un des mercenaires présents en ces murs. Il avait trouvé sa place en ce monde, après des années d'errance depuis le Royaume du nord. Sa solde lui permettait de vivre plus que correctement, et certains soirs il se payait même le luxe d'un agréable moment avec l'une des filles de joies du nouveau Bordel de Saumur.

Ce soir là, il se trouvait comme tous les soirs à son poste, adossé contre la muraille, regardant la herse d'entrée de la forteresse. L'homme dormait peu, et la nuit était son moment préféré. Le calme régnant sur le domaine, le silence seulement rompu des cris de quelques animaux nocturnes.

Soudain le lugubre silence fut stoppé net par trois coups portés sur la porte, tirant le Nordique de ses pensées, qui il faut l'avouer étaient éternellement pleine de … rien.
L'homme détacha alors sa lourde carcasse du mur et franchit en quelques enjambées les derniers mètres le séparant de la herse. Il actionna rapidement le mécanisme et put enfin découvrir qui se trouvait derrière.

Une jeune femme … toute fluette, à la silhouette longiligne … Une belle femme pour les yeux masculins qui ne se génèrent pas pour la détailler longuement. Des cheveux sombres, la couleur de ses yeux restera inconnue pour le moment, la faible lueur de la lune ne permettant pas au guerrier blond de la deviner.

Une grimace qui pouvait s'apparenter à un sourire se dessina alors sur les lèvres d'Arnaülf, et une étincelle s'alluma dans ses yeux bleu ciel. Il n'essaya même pas de cacher sa joie d'accueillir une demoiselle en ces murs, les maitres s'étant jusqu'à présent toujours réservés ce privilège..

Mais cette fois ci, elle lui tombait dans les bras. Des pensées que la morale nous interdira de développer plus avant ici assaillirent soudain l'homme du froid, et il du se cogner lui même le front pour se concentrer sur la tâche qui lui était dévolue : soit faire entrer et patienter la donzelle.


'Soir Frøken. Laisser cheval ici, moi m'occuper après. Me suivre, maîtres occupés là, mais moi amener vous dans salle pour attendre. Vous pouvoir vous reposer de longue route.


Le guerrier, dont la galanterie était un mot étranger son vocabulaire, dans quelque langues que ce soit, ne prit pas la peine de laisser passer le jeune femme devant lui, mais se contenta de se diriger vers la petite salle près de la cour d'entrée, là où la nouvelle arrivante pourrait patienter, tout en se restaurant.
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MessageSujet: Re: L’azur c’est éteins ….et après….   L’azur c’est éteins ….et après…. Icon_minitimeMar 16 Juin - 11:48

quelques instants, respiration a nouveau sereine. L’écho de pas lourd se fond entendre, herse qui s’lève, molosse qui s’déplace, r’gard d’la brindille qui détail sans gêne aucune, répond a l’espèce de grimace qui s’dessine sur l’faciès de l’étrange personnage qui présente a elle, un sourire angélique et s’marre intérieurement…. Habitué a ces lueurs d’envie dans l’regard des autres hommes ou femme d’ailleurs… elle en profite bien souvent pour détournée l’attention bien qu’elle en ai souvent peu besoin, elle est vive, sauvage ou bien discrète… comme un animal de la forêt où elle a grandit une bonne partie d’son enfance….

Lentement… Elle lève sa main droite, effleure doucement la capuche de sa cape et la fait glisser, dévoile son p’tit visage d’ange, l’iris azurée impassible, l'corps sur l'quivive. Il reste planter là, haussement d’sourcil et elle avance d’un pas, s’arrête ... pensée lui traversant l’esprit pas lui déclencher trop d’idées salaces tout d’même, p’tit sourire diabolique en coin, l’ogre s’en cogne l’front et s’décide enfin à parler.

'Soir Frøken. Laisser cheval ici, moi m'occuper après. Me suivre, maîtres occupés là, mais moi amener vous dans salle pour attendre. Vous pouvoir vous reposer de longue route.

Hoch’ment d’tête d' la d’mi portion, r’garde son étalon émet un léger sifflement pour lui signaler d’partir, c’est conv’nue entre eux d’puis longtemps, elle sait comment l’récupérer, l’étalon n’est pas facile lui aussi, s’laisse pas monter par n’importe qui, pis il a l’habitude des départs in extremis d’la brindille. Pas qui s’enchainent, silencieusement, l’regard curieux qui découvre p’tit a p’tit la forteresse, pas un mot n’sors d’la bouche de Sunie, l’as pas demandé d’se présenter c’qui donne a la brindille une idée supplémentaire du personnage…

Elle découvre une salle, elle a faim, mais pas envie d’y entrer alors elle s’pose contre le mur d’entrée d’celle-ci, mains droite qui s’faufile dans sa besace sort innocemment une pomme qu’elle commence à croquer a pleine dents. Elle s’pose pas d’questions, elle se doute qu’elle risque d’apercevoir certaines personne qui était v’nue mettre l’dawa en Auvergne…
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MessageSujet: Re: L’azur c’est éteins ….et après….   L’azur c’est éteins ….et après…. Icon_minitime

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